Le cerveau noir de Piranèse : les Prisons imaginaires : 16 gravures de Piranèse - Marguerite Yourcenar

Le cerveau noir de Piranèse : les Prisons imaginaires : 16 gravures de Piranèse

Marguerite Yourcenar

Pagine Arte | avril 2016
17,10 €
-5% pour les titulaires de la carte avec le retrait en librairie
LIBRAIRIES PARTICIPANTES
Paris VIᵉ, Paris VIIIᵉ, Paris XVIIᵉ, Paris Vᵉ
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Voir les disponibilités en librairie
18,00 €
Disponibilité en ligne
Indisponible chez l'éditeur

Ce que dit l'éditeur

Les éditions Pagine d'Arte invitent le lecteur à la découverte de nouvelles correspondances entre l'image et le texte : un dialogue continu entre la lecture poétique et le plaisir du regard. La noire splendeur de l'architecture des ténèbres inventée par Piranèse a inspiré l'écriture de Charles Nodier et de Théophile Gautier qui nous rappelle la présence, à la fois merveilleuse et inquiétante, des inventions de Piranèse dans l'univers dessiné de Victor Hugo. Henri Focillon a consacré au maître vénitien des études inspirées de ces images d'éternel combat entre la lumière et la nuit, la violence et la fraîcheur, la passion du détail et la tentation d'un espace-temps insolite et grandiose. C'est maintenant le tour de Margueritte Yourcenar...

Résumé

Extrait du recueil Sous bénéfice d'inventaire, ce texte de M. Yourcenar propose une relecture de Rome et du monde antique à travers une interprétation de la série de dessins intitulée Les Prisons imaginaires, publiée en 1750 par Piranèse, artiste ayant joué un rôle déterminant dans le retour de l'esthétique du monde antique au XVIIIe siècle et dans la conception du style néo-classique. ©Electre 2024

Caractéristiques

Auteur(s)
Éditeur(s)
Date de parution
15 avril 2016
Collection(s)
Mots & images
Rayon
Essais sur l'art : esthétique
EAN
9788896529829
Nombre de pages
61 pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0 cm x 15.0 cm x 0.9 cm
Poids
176 g
nothumb-auteur.jpg

À propos de l'auteur

Marguerite Yourcenar

Marguerite Yourcenar la voyageuse aurait pu prendre à son compte la devise de son héros l'empereur Hadrien : mes premières patries ont été les livres. Elle a produit une oeuvre d'un grand classicisme qui lui a permis d'être la première femme à entrer à l'Académie Française.