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Dans un contexte où l'altérité apparaît comme étant opposée à
l'identité, l'amour du prochain, voire de l'ennemi bouscule les représentations
; il invite à penser autrement, différemment, en vérité.
À la lumière du Christ et de son enseignement, l'altérité s'inscrit
désormais au coeur de la quête de vérité. Prétendre reconnaître la
vérité divine et rejeter, annexer ou mépriser l'autre est une contradiction
dans les termes.
Mais jusqu'où aller dans la reconnaissance de l'altérité ? En
quoi est-elle constitutive de l'identité ? Comment en rendre compte
si l'autre ne partage pas la même vérité ou encore la met en cause
? Faut-il maintenir l'altérité au risque de juxtaposer les différences
ou bien chercher à convertir l'autre à l'unique vérité au risque
de faire le contraire de ce qu'exige la charité chrétienne ?