À travers cette évocation très personnelle de François Cheng, Assise et la figure du poverello prennent une dimension lumineuse et, une fois encore, universelle. Un texte d'une bouleversante émotion écrit par un grand poète et un humaniste.
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« Comme tous ceux qui, depuis la plaine de l'Ombrie, voient Assise pour la première fois, je fus saisi, en sortant de la gare, par son apparition dans la clarté d'été, par la vision de cette blanche cité perchée à flanc de colline, suspendue entre
terre et ciel, étendant largement ses bras dans un geste d'accueil. Figé sur place, j'eus le brusque pressentiment que mon voyage ne serait pas que touristique, qu'il constituerait un moment décisif de ma vie. Je me surpris à m'exclamer en moi-même : « Ah, c'est là le lieu, mon lieu ! C'est là que mon exil va prendre fin ! » »