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« Ne laisse pas ma part obscure me parler. Je me se dispersé là-bas. Je suis obscur, Mais là, même là, je t'ai aimé à la folie. Je me suis perdu et je me suis souvenu de toi...
Maintenant je reviens vers ta source. En feu. Le souffle coupé. Personne pour m'en empêcher. Je vais la boire. Je vais en vivre. Je ne suis pas ma vie. Je vis mal de moi. J'ai été ma mort. »
J'ai voulu, par une nouvelle traduction intégrale du texte d'Augustin, rendre justice à cette véritable odyssée personnelle, à ce voyage intime dans le temps, la mémoire de soi et l'écriture. augustin révolutionne ainsi la confession antique, détourne la littérature classique, et fait exploser les cadres anciens à l'intérieur desquels nous avons l'habitude de nous réfugier et de penser notre vie.
Frédéric Boyer a fait le pari - réussi - que, rendue audible dans une langue contemporaine cette oeuvre est toujours capable de plaire
Marcel Neusch, La Croix
Une traduction incisive des Confessions de Saint Augustin. En optant pour un langage très contemporain, l'écrivain Frédéric Boyer donne un nouveau souffle aux Confessions de l'évêque philosophe, pages brûlantes et tourmentées, considérées comme le texte fondateur de la littérature autobiographique.
Nathalie Crom, Télérama
La beauté de cette traduction qui se lit d'un seul souffle nous fait surtout sentir l'homme et sa passion plutôt que le clerc cultivé, pourfendeur des hérésies de son siècle. C'est déjà beaucoup.
Nicolas Weil, Le Monde
Saint Augustin, on le sait, est une source inépuisable de réflexion philosophique, de méditation existentielle, de questionnement religieux. C'est pourquoi il faut être infiniment reconnaissant à Frédéric Boyer de nous restituer son texte dans la force vivante qui l'a fait surgir bien avant que son auteur ne fût Saint, Père ou Docteur - toutes choses qu'il devint et qui, jusqu'à aujourd'hui, l'avaient comme momifié.
Mark Hunyadi, Le Temps
Frédéric Boyer restitue toute sa violence poétique à la première autobiographie de tous les temps