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Sœur Marie-Faustine du Très Saint Sacrement (Hélène Kowalska) naquit à Glogowiec, non loin de Lodz, le 25 août 1905. Elevée avec soin au milieu d'une famille de dix enfants, elle reçut une instruction précaire, vu la pauvreté de ses parents. Toute jeune encore, elle s'engagea comme bonne pour aider ses parents. A vingt ans, elle fut admise comme Sœur converse dans la Congrégation des Religieuses de Notre-Dame de la Miséricorde de Pologne à Varsovie.
Partout où l'obéissance l'appela, elle remplit de modestes charges : cuisinière, jardinière, tourière. Toujours calme, équilibrée, accomplissant strictement ses exercices de piété, elle édifiait par son exemple tous ceux qui la connurent. C'est à cette simple converse, plutôt ignorante et faible - signe de contradiction aux yeux du monde - que Jésus daigna rappeler le Grand Message de sa Miséricorde Infinie. Ses treize ans de vie cachée mais combien féconds en grâces, furent une longue conversation avec le Christ qui lui transmettait le Message de sa Miséricorde.
Parallèlement à son rôle de «secrétaire» et «apôtre» de la Miséricorde Divine, Sœur Faustine est un modèle de sainteté personnelle. Tous sont unanimes sur ce point et c'est une garantie de l'authenticité de sa mission. Ses dernières années furent particulièrement douloureuses.
Atteinte de tuberculose, très malade et faible, elle demeurait sereine, souriante et joyeuse. Le Christ épargna à sa fidèle servante les affres de la mort : fixant des yeux la Croix, elle s'éteignit le 5 octobre 1938, pour recevoir la récompense éternelle.
D'ailleurs, elle avait prédit l'année de sa mort et mourut à 33 ans... comme Notre Seigneur. Simple coïncidence ? Après l'ouverture de la cause de Béatification en 1966, le cercueil de Sœur Faustine fut exhumé et transporté du cimetière à la chapelle du couvent, témoin de tant de grâces accordées à la Servante de Dieu.