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La résurrection corporelle du Christ, sujet de scandale pour tous les temps, constitue bien cependant le fondement de la révélation évangélique. En ce domaine, une véritable intelligence de la foi est, aujourd'hui plus que jamais, nécessaire, car «le matérialisme dogmatique, l'érotisme convulsé, la quête d'un nirvana impersonnel n'ont d'autre cause que l'hésitation contemporaine des chrétiens à proclamer et à tenter de vivre la résurrection de la chair». La véritable tradition biblique et patristique, c'est la résurrection communiquée, c'est notre résurrection dans le Ressuscité.
Dans l'attente d'un monde nouveau totalement métamorphosé à la Parousie, la transformation du présent se fait dans la contradiction. «La révolution technicienne pourrait bien constituer comme un second Ancien Testament non du premier mais du second Avènement. Elle unifie la planète, comme l'Empire romain, efficace lui aussi, avait unifié le monde méditerranéen au moment de l'Incarnation. Elle disqualifie les vieux cultes, les anciennes médiations cosmiques, et dresse l'individu dans l'exigence de la justice. Il y a des évolutions indispensables auxquelles les chrétiens doivent loyalement s'associer. Mais au-delà, et déjà au travers, se filigrane le problème du sens. La désacralisation de la nature par le christianisme ne peut être qu'une étape vers sa transfiguration.»