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La ville de Constantinople, rempart de la Chrétienté
en Orient, a, pendant plus de mille ans, résisté à
tous les assauts. Elle est tombée en deux temps et,
paradoxalement, le premier coup lui fut porté en
1204 par les croisés venus d'Occident, payés par
Venise et avec l'accord tacite de Rome.
Réduit dès lors à fort peu, l'empire «byzantin» fut
incapable de repousser les attaques d'un Empire
ottoman conquérant de toute l'Asie Mineure. Les
Latins ont porté secours, levé des troupes et lancé
des flottes de guerre à plusieurs reprises ; mais les
conflits qui opposaient rois et princes mobilisaient
le plus gros de leurs forces. Si Constantinople ne fut
pas abandonnée à elle-même, l'Occident, requis par
la guerre entre ses nations, accepta l'agonie de
l'empire chrétien d'Orient, sans comprendre qu'il
serait lui-même la proie suivante.