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Une lecture qui fait du bien si on vient de perdre un être cher et aussi si on continue á y penser. C'est léger, entraînant et vous en sortez ragaillardi : un livre sur la résilience, mais très personnel. Il vous suffira de suivre les coccinelles de Florence, mais aussi une biche et un papillon...
Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d'enterrement de
maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D'où vient-elle, en ce mois de janvier ?
Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d'autres encore... J'aimerais imaginer que c'est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m'assaille. La prudence voudrait que je n'y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes - un papillon, une biche, une bague... - m'entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n'abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider.
Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils « des invisibles, mais pas des absents » ?