J'ai cru que c'était un homme : Alain, les religions, la laïcité, l'antisémitisme
André Comte-Sponville
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur
André Comte-Sponville
Alain, les religions, la laïcité, l'antisémitisme Alain, philosophe athée, s'intéressait passionnément aux religions. C'est qu'il y voyait comme des miroirs, où l'humanité se projette et se reconnaît. Aussi en parle-t-il avec empathie et profondeur : je n'ai rien lu de plus beau sur les religions de la nature (« Pan »), de l'homme (« Jupiter ») ou de l'esprit (judaïsme, christianisme). Et rien de plus juste, sur la laïcité. Mais comment celui qui écrivait qu'« il n'est permis d'adorer que l'homme » put-il tomber - tout en se le reprochant - dans l'antisémitisme que révèle son Journal inédit ? C'est ce que j'ai voulu essayer de comprendre. |
RésuméLe philosophe Alain écrivait "Il n'est permis d'adorer que l'homme", pourtant la lecture de son journal révèle son antisémitisme. André Comte-Sponville s'interroge sur ce paradoxe. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) André Comte-Sponville
(Auteur) Éditeur(s) Date de parution
15 janvier 2020
Collection(s)
Carnets de l'Herne
Rayon
André Comte-Sponville
EAN
9791031902630
Nombre de pages
115
pages
Reliure
Broché
Dimensions
17.0
cm x
12.0
cm x
1.1
cm
Poids
116
g
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À propos de l'auteurAndré Comte-Sponville est un philosophe français qui se réclame à la fois de l'humanisme, du matérialisme et du rationalisme et essaie de répondre aux grandes interrogations de l'homme d'aujourd'hui. |