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À la Belle Époque, François Ferdinand fait partie de la jeunesse insouciante de Vienne. Entouré de ses amis, il tourne en dérision l'amour et le temps qui passe, s'amuse et s'instruit. Un autre François Ferdinand, l'archiduc, est assassiné. Les jeunes gens s'engagent avec enthousiasme dans la guerre, sans deviner que le déclin de la monarchie austro-hongroise aura raison de leurs illusions.
« Au-dessus des verres où nous buvions ensemble, la mort croisait déjà ses mains décharnées. »
« Si vous ne recherchez que votre pur plaisir tout en essayant de vous faire une idée de ce qu'était le génie de Vienne, ne retenez qu'un seul nom : Joseph Roth. »