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Dans le traité De officiis, adressé à son fils à la
fin de l'année 44 av. J.-C., Cicéron (106-43) adapte
et poursuit l'oeuvre consacrée par le philosophe
stoïcien Panétius à la question du «devoir»
(kathêkon/officium), c'est-à-dire de l'action
appropriée. Il s'agit, en fait, de déterminer les
formes que revêt l'action morale, qui, pour n'être
parfaite que chez le sage, ne laisse cependant pas
d'être conforme à la droite raison chez l'aspirant
à la sagesse.
Le premier livre explore le concept d'honestum
(l'honnête comme critère de l'action morale),
qui se décline suivant quatre vertus cardinales,
dont la principale est la justice. Ensuite, au
livre II, Cicéron examine le concept d'utile, qu'il
confronte enfin, dans le livre III, avec l'honnête,
en défendant la thèse selon laquelle, en dépit
des apparences, rien de déshonnête ne peut
jamais être vraiment utile.