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La sécularisation de nos sociétés et la fin de la religion seraient-elles un effet inéluctable de la modernité ?
Hans Joas, proche de la pensée de Paul Ricoeur, expose ici une conception alternative à cette théorie si souvent mise en avant. Pour lui. le phénomène religieux n'a pas disparu du paysage surtout en dehors de l'Europe. Il faut aussi savoir reconnaître le rôle joué par le catholicisme dans la modernisation, dont le protestantisme n'a pas le monopole. Revenant en particulier sur le pluralisme religieux, la sécularisation, la violence religieuse, la place du sacré ou le rôle des intellectuels, Hans Joas indique notamment quatre défis majeurs pour l'avenir du christianisme : l'éthos de l'amour, la question de la personne, le statut de la spiritualité et l'affirmation forte de la transcendance issue du prophétisme de l'Ancien Israël et du premier judaïsme.
La foi chrétienne n'a pas dit son dernier mot et demeure une option toujours crédible.