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Enquête sur un sujet tabou : l'ensauvagement d'une nation
Chaque jour en France :
640 violences sexuelles hors ménage
1670 violences physiques hors ménage
2000 domiciles cambriolés ou « visités »
4000 véhicules volés ou vandalisés
« Dans le Var, un homme laissé libre après une agression à la hache, a abattu de trois coups de feu dans le dos la belle-mère de sa concubine. Selon le parquet, « la dangerosité de l'individu, qui aurait pu justifier sa mise en détention, n'avait pas été établie ».
Pourquoi notre société protège-t-elle les criminels ? Dans notre pays, on agresse des pompiers à coups de marteau. On lynche des flics devant leurs enfants. On viole des enfants de quatre ans au parloir des prisons. On assassine des Chinois parce qu'ils sont chinois, et ça ne coûte pas plus de deux ans ferme. On trouve normal que ce soit aux victimes de « prendre leurs précautions ». On trouve normal de criminaliser l'inquiétude des honnêtes gens. On trouve normal que trois millions de femmes se disent harcelées dans la rue, qu'à peine 1% des violeurs soient un jour condamnés, que le terrorisme soit devenu la « préoccupation principale » des Français, et qu'il soit interdit d'évoquer l'impressionnante part de criminalité liée à l'immigration. Et pendant ce temps-là, les féministes évoquent des trottoirs « pas assez larges », les antiracistes dénoncent le « racisme systémique » de la France, nos responsables votent des « plans banlieue", disent l'urgence de développer les «peines alternatives », et lâchent des ballons contre le terrorisme.
Alors, pourquoi ce livre ? Parce que nul n'est censé ignorer la réalité. »