Les avis de cette rubrique sont la propriété de La Procure. Les auteurs s'engagent donc à renoncer à tous leurs droits de propriété.
L'internaute a le droit de publier un avis par livre, mais certains livres ne sont pas ouverts aux avis.
Les données obligatoires sont nécessaires pour que vous puissiez faire paraître votre commentaire. Merci de nous les fournir pour que nous soyons en mesure de traiter votre demande.
Vous disposez d'un droit d'accès, de rectification, de modification et de suppression des données qui vous concernent. Pour l'exercer, il vous suffit de cliquer sur « Modifier mon commentaire » lorsque vous êtes identifié.
La rédaction des critiques sur laprocure.com est soumise à une charte :
Nous nous réservons le droit de ne pas publier les commentaires ne respectant pas la charte de rédaction.
Ce module vise uniquement à collecter des commentaires sur le contenu d'une oeuvre. Le commentaire doit se limiter à des argumentations, des remarques ou des impressions qui portent sur le livre concerné ou son auteur. Il ne doit en aucun cas mentionner des informations sur votre vie privée ou celle d'autres personnes. Les termes pouvant être interprétés comme une injure ou une diffamation à l'encontre de l'auteur ou de toute autre personne physique ou morale sont strictement interdits sur laprocure.com.
Un internaute qui n'a pas été publié n'a plus la possibilité de republier un avis pour la notice concernée.
Des théologiens, et non des moindres, ont été frappés par les convergences entre l'encyclique de Jean-Paul II, Dives in misericordia, en date du 30 novembre 1980, et le message de soeur Faustine : au point que certains sont venus voir l'auteur pour en savoir plus long. La réponse fut simple. En tant que promoteur de la cause de béatification de soeur Faustine, le cardinal Wojtyla connaissait ses écrits. Nous savons qu'il passait des heures à genoux auprès de sa tombe. Soeur Faustine et Frère Albert figurent au premier rang des candidats aux autels de l'archidiocèse de Cracovie et la « voix du peuple » le confirme. Nombreuses sont les grâces qu'on leur attribue !
« Convergence » ne signifie pas « influence », si ce n'est sous la motion souveraine du même Esprit. Jean-Paul II a certainement puisé, dans ses heures d'oraison à Cracovie, les éléments essentiels de sa future encyclique, en basant « le plus grand attribut divin », proclamé par soeur Faustine à la suite de saint Thomas d'Aquin, sur des données théologale, exégétique et traditionnelles. Des amis intimes du Pape ont pu dire à juste titre que son encyclique consacrée à la divine miséricorde dévoile le fond de son coeur.
Tout en gardant les limites qui séparent les messages des amis de Dieu des proclamations autorisées du suprême magistère, remontons à la source : l'Esprit Saint qui, plus que jamais, est à l'oeuvre dans son Eglise et multiplie les charismes. La foi en la divine miséricorde est à l'heure qu'il est, le plus puissant remède aux maux de notre temps.
Soeur Faustine n'invente rien. Elle ne fait que « passer le courant ». C'est la clef de son merveilleux rayonnement dans les pays qui, officiellement, essaient de se passer de Dieu. Les crises qui bouleversent le monde présent sans épargner l'Eglise, solidaire de toutes les angoisses et de toutes les souffrances de l'homme, situent les porte-parole de la tendresse de Dieu au premier rang de l'actualité. Car « là où le péché abonde, la Miséricorde surabonde ».