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Au coeur du texte biblique, YHWH, qu'on nomme
le tétragramme, quatre consonnes imprononçables,
empruntées au plus essentiel des mots : le verbe
être. Depuis l'émergence du judaïsme et du
christianisme, l'« imprononçabilité » de Dieu ouvre
à la quête de son mystère. Des générations
de commentateurs se sont succédé pour tirer de
ce silence étourdissant des ressources spirituelles
inépuisables. Poète protestante
de renom, Franchie Carrillo s'y essaye ici.
En 35 poèmes et 12 méditations en prose, elle offre
au lecteur une rythmique spirituelle creusant le
mystère de l'imprononçable, « ce nom nouveau que
personne ne connaît sinon celui qui le reçoit ».