Israël-Ismaël : les peuples de la promesse

Ce que dit l'éditeur

D'un des descendants d'Adam et Ève épargné par le déluge qui ravagea la Mésopotamie naquit une lignée laquelle, Abraham étant le père de deux fils, se scinda en deux peuples dont l'histoire entremêlée et conflictuelle s'est prolongée jusqu'à nos jours.

Issus l'un d'Ismaël et l'autre d'Isaac, le futur père de Jacob-Israël, le peuple arabe et le peuple hébreu furent l'un et l'autre l'objet d'une promesse divine. À charge pour eux de représenter des communes valeurs qui, par la suite, se retrouvèrent dans les institutions religieuses vouées au même Dieu. Parfois antagonistes, comme dans les courants philosophiques et sociaux d'inspiration non divine qui, avec les églises et non pas à la manière d'un Hitler, ont façonné le monde sans pourtant que s'instaure ce que le Coran a appelé l'Ordre de Dieu.

Pourquoi ? parce que Jérusalem n'a toujours pas assumé sa vocation biblique de ville ouverte n'appartenant ni à Israël ni à Ismaël mais au monde dont elle devrait alors être la capitale spirituelle et politique.

Tant que cela ne sera pas, ne se réalisera pas l'une des promesses de Dieu selon laquelle par Israël seront rendues heureuses toutes les nations.