Le joueur d'échecs
Stefan Zweig
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe joueur d'échecs À bord d'un paquebot en route pour l'Argentine, deux hommes s'affrontent aux échecs. Le premier, Mirko Czentovic, est le champion mondial de ce jeu. Le second, M. B., n'a pas touché à un échiquier depuis vingt ans, par ordre du médecin. Car la dernière fois qu'il a joué, un contexte particulièrement douloureux l'a rendu schizophrène. Ces deux personnages singuliers et mystérieux attisent la curiosité du narrateur, passionné de psychologie. Dès lors, il se met en tête de les faire parler, et nous livre deux troublants récits enchâssés. Une traduction inédite en poche de ce classique de la littérature sans cesse réédité depuis sa parution posthume en 1943. « Ce n'est pas sans raison que cette nouvelle est l'une des plus célèbres de Stefan Zweig. Les multiples strates qui la constituent, les ingrédients en partie autobiographiques semblent récapituler tous les thèmes abordés dans ses précédentes oeuvres. L'épaisseur tant narrative qu'humaine, et même allégorique, de cette nouvelle en fait une sorte de testament fictionnel. » |
RésuméLors d'une partie jouée sur un paquebot en route pour l'Argentine, Czentovic, champion mondial des échecs, se demande qui est cet inconnu capable de le battre. L'homme affirme qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans. Une nouvelle écrite en 1941 qui constitue un témoignage contre les tentatives nazies de déshumanisation. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Stefan Zweig
(Auteur) Éditeur(s) Date de parution
14 juin 2018
Collection(s)
Pavillons poche
Rayon
Littérature allemande
Contributeur(s) Françoise Wuilmart
(Traducteur) EAN
9782221203774
Nombre de pages
98
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
13.0
cm x
0.9
cm
Poids
82
g
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À propos de l'auteurStefan Zweig est la parfaite incarnation de l'artiste d'origine juive qui dominait la vie culturelle et intellectuelle viennoise au début du XXème siècle. Témoin deux fois de l'écroulement du Monde d'hier et contraint à l'exil par l'Anschluss, il ne supporta pas cet apparent triomphe de la barbarie et se suicida au Brésil en 1942. |