Les avis de cette rubrique sont la propriété de La Procure. Les auteurs s'engagent donc à renoncer à tous leurs droits de propriété.
L'internaute a le droit de publier un avis par livre, mais certains livres ne sont pas ouverts aux avis.
Les données obligatoires sont nécessaires pour que vous puissiez faire paraître votre commentaire. Merci de nous les fournir pour que nous soyons en mesure de traiter votre demande.
Vous disposez d'un droit d'accès, de rectification, de modification et de suppression des données qui vous concernent. Pour l'exercer, il vous suffit de cliquer sur « Modifier mon commentaire » lorsque vous êtes identifié.
La rédaction des critiques sur laprocure.com est soumise à une charte :
Nous nous réservons le droit de ne pas publier les commentaires ne respectant pas la charte de rédaction.
Ce module vise uniquement à collecter des commentaires sur le contenu d'une oeuvre. Le commentaire doit se limiter à des argumentations, des remarques ou des impressions qui portent sur le livre concerné ou son auteur. Il ne doit en aucun cas mentionner des informations sur votre vie privée ou celle d'autres personnes. Les termes pouvant être interprétés comme une injure ou une diffamation à l'encontre de l'auteur ou de toute autre personne physique ou morale sont strictement interdits sur laprocure.com.
Un internaute qui n'a pas été publié n'a plus la possibilité de republier un avis pour la notice concernée.
Le Journal et pensées de chaque jour d'Élisabeth Leseur a rencontré un immense succès lorsqu'il a été publié en 1917 par son époux Félix. Devenu croyant à la lecture des écrits de sa femme, il entre en 1919 dans l'ordre des Prêcheurs. Une quinzaine d'années plus tard, Félix - désormais le frère Marie-Albert Leseur -, publie le Journal d'enfant qu'Élisabeth rédigea entre onze et quinze ans et qui se compose de deux cahiers d'écolier.
Le premier s'ouvre sur la perspective tant attendue de la première communion qu'Élisabeth fera le 15 mai 1879. Le second cahier comprend le récit de cet événement si important pour la petite fille, précédé des trois jours de retraite réglementaires.
On est heureux de découvrir dans ce journal le si profond désir de sainteté qui habitait Élisabeth Leseur et qui mûrira ensuite de manière juste et ferme tout au long de son existence. On y décèle aussi le courage dans son combat contre le mal et la médiocrité, ainsi que sa compréhension si vive de la réalité qui marquent profondément la personnalité humaine et spirituelle de cette grande femme.