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Infirmière sur le front, Léopoldine se dévoue sans relâche auprès des soldats. Ses parents l'ont promise à Vincent, un bel homme avec une bonne situation, mais trop cynique pour cette femme libre et pétillante. Quand son frère Clément, mobilisé en première ligne, déserte, Léopoldine, malgré ses états de service exemplaires, est accusée de complicité. Sous le chantage de l'état-major, elle accepte alors d'espionner le contingent russe pour le compte de l'armée française. C'est ainsi qu'elle va connaître l'injustice et la douleur, mais aussi l'indépendance et l'amour...
« Croyez, Léopoldine, croyez ! Et surtout tenez... ne lâchez rien. Vous êtes une passionnée ! »
- Mademoiselle, j'irai droit au but. Le soldat Clément Montagne a déserté et vous refusez de nous dire où il se trouve. C'est fâcheux...
- Et faux ! s'insurge Léopoldine.
Ce qui a le don d'énerver son interlocuteur qui reprend, l'air courroucé :
- Dans le rapport que j'ai sous les yeux, il est noté que vous refusez de coopérer ; pour moi, cela ne fait aucune différence. Dans cette affaire compromettante, au mieux vous perdez votre place, au pire... je vous laisse deviner. Mais vous possédez un atout majeur pouvant nous être très utile.
Le colonel Bredoy ménage son effet d'annonce. Il pose un regard froid et direct sur Léopoldine et articule chaque syllabe :