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Lorsque le 25 février 1954, à Paris, Jacques Fesch assomme un changeur pour le voler, puis tire sur un agent de police avant de fuir, il vient de signer son arrêt de mort.
Trois ans et demi après, au terme de six mois de procès, J. Fesch est guillotiné le 1er octobre 1957.
Qui pouvait savoir alors que la mort de Jacques allait révéler au monde entier la vertigineuse ascension spirituelle du prisonnier ? Jésus était venu le rejoindre au fond de la Cellule 18. Ses nombreuses lettres et confidences, véritable journal de son âme, ont bouleversé autant les « bien portant » qu'une multitude plongée dans l'épreuve ou nombre de prisonniers croupissant au fond de leur prison.
Jacques, toi « le bon larron du XXe siècle », comme on t'appelle de par le monde, toi l'enfant du Coeur miséricordieux du Père, sauvé par pure grâce, tu es la preuve vivante qu'il n'est pas une nuit qui ne puisse être illuminée par la lumière de Jésus, pas une impasse qui ne puisse déboucher sur un pays sans frontières, pas une solitude qui ne puisse être visitée, habitée...