Parce qu’elle semble faire échec à cet élan vital inscrit au plus intime de nous-mêmes, la mort nous est inacceptable. D’où notre question scandalisée : pourquoi mourons-nous ? Henri Boulad offre une réponse apaisante et lumineuse à cette interrogation : nous mourons parce que nous ne sommes pas encore advenus à nous-mêmes, aux autres, au monde, et à Dieu. Ces quatre aspects de la mort cachent quatre visages de la naissance. Dans sa réalité la plus profonde, notre mort sera l’avènement de notre moi véritable, l’accomplissement plénier de nos relations humaines, une expérience cosmique dont nous portons le désir secret, et l’heure de connaître ce Dieu qui nous demeure voilé. L’auteur traite aussi des questions qui intriguent la sensibilité moderne, comme la réincarnation, le jugement, la sexualité dans l’au-delà. Sa réflexion longuement mûrie nous convainc que nous n’avons pas à redouter la mort, que nous n’y perdrons rien de ce qui fait le meilleur de nous-mêmes. Au contraire, nous pourrons dire avec Thérèse de Lisieux : je ne meurs pas, j’entre dans la Vie.
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Parce qu’elle semble faire échec à cet élan vital inscrit au plus intime de nous-mêmes, la mort nous est inacceptable. D’où notre question scandalisée : pourquoi mourons-nous ? Henri Boulad offre une réponse apaisante et lumineuse à cette interrogation : nous mourons parce que nous ne sommes pas encore advenus à nous-mêmes, aux autres, au monde, et à Dieu. Ces quatre aspects de la mort cachent quatre visages de la naissance. Dans sa réalité la plus profonde, notre mort sera l’avènement de notre moi véritable, l’accomplissement plénier de nos relations humaines, une expérience cosmique dont nous portons le désir secret, et l’heure de connaître ce Dieu qui nous demeure voilé. L’auteur traite aussi des questions qui intriguent la sensibilité moderne, comme la réincarnation, le jugement, la sexualité dans l’au-delà. Sa réflexion longuement mûrie nous convainc que nous n’avons pas à redouter la mort, que nous n’y perdrons rien de ce qui fait le meilleur de nous-mêmes. Au contraire, nous pourrons dire avec Thérèse de Lisieux : je ne meurs pas, j’entre dans la Vie.
Quatrième de couverture
Parce qu’elle semble faire échec à cet élan vital inscrit au plus intime de nous-mêmes, la mort nous est inacceptable. D’où notre question scandalisée : pourquoi mourons-nous ? Henri Boulad offre une réponse apaisante et lumineuse à cette interrogation : nous mourons parce que nous ne sommes pas encore advenus à nous-mêmes, aux autres, au monde, et à Dieu. Ces quatre aspects de la mort cachent quatre visages de la naissance. Dans sa réalité la plus profonde, notre mort sera l’avènement de notre moi véritable, l’accomplissement plénier de nos relations humaines, une expérience cosmique dont nous portons le désir secret, et l’heure de connaître ce Dieu qui nous demeure voilé. L’auteur traite aussi des questions qui intriguent la sensibilité moderne, comme la réincarnation, le jugement, la sexualité dans l’au-delà. Sa réflexion longuement mûrie nous convainc que nous n’avons pas à redouter la mort, que nous n’y perdrons rien de ce qui fait le meilleur de nous-mêmes. Au contraire, nous pourrons dire avec Thérèse de Lisieux : je ne meurs pas, j’entre dans la Vie.