Les avis de cette rubrique sont la propriété de La Procure. Les auteurs s'engagent donc à renoncer à tous leurs droits de propriété.
L'internaute a le droit de publier un avis par livre, mais certains livres ne sont pas ouverts aux avis.
Les données obligatoires sont nécessaires pour que vous puissiez faire paraître votre commentaire. Merci de nous les fournir pour que nous soyons en mesure de traiter votre demande.
Vous disposez d'un droit d'accès, de rectification, de modification et de suppression des données qui vous concernent. Pour l'exercer, il vous suffit de cliquer sur « Modifier mon commentaire » lorsque vous êtes identifié.
La rédaction des critiques sur laprocure.com est soumise à une charte :
Nous nous réservons le droit de ne pas publier les commentaires ne respectant pas la charte de rédaction.
Ce module vise uniquement à collecter des commentaires sur le contenu d'une oeuvre. Le commentaire doit se limiter à des argumentations, des remarques ou des impressions qui portent sur le livre concerné ou son auteur. Il ne doit en aucun cas mentionner des informations sur votre vie privée ou celle d'autres personnes. Les termes pouvant être interprétés comme une injure ou une diffamation à l'encontre de l'auteur ou de toute autre personne physique ou morale sont strictement interdits sur laprocure.com.
Un internaute qui n'a pas été publié n'a plus la possibilité de republier un avis pour la notice concernée.
Saint Martin fût l'une des grandes figures de l'évangélisation des Gaules et le premier évêque de Tours. Grégoire, son successeur à l'évêché en 573, entreprend de raconter sa vie et surtout les nombreux miracles qui se sont manifestés sur son tombeau.
C'est l'occasion, pour le lecteur contemporain, de découvrir, par le détail quotidien de la vie, la réalité de la société mérovingienne : hommes, femmes et enfants qui défilent devant nos yeux, avec leurs maladies, leurs peurs, leurs angoisses et leurs espérances pour invoquer le nom du saint.
« J'avais dans ce temps-là un clerc, nommé Armentaire, lequel était très savant dans les lettres spirituelles, et dont la facilité était si grande à saisir les modulations de la musique qu'on eût cru qu'il l'écrivait couramment sans avoir besoin d'y réfléchir. Il était très zélé dans son service, et très fidèle en ce qu'on lui confiait. Mais, sous l'influence d'un poison, il perdit le sens et fût réduit à ce point de ne pouvoir plus rien comprendre, ni rien faire. La troisième nuit après notre arrivée à la sainte basilique, nous nous disposâmes à veiller et... »