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S'il est de coutume d'opposer, dans de nombreuses traditions religieuses, les domaines de la Loi et de la mystique ou de l'ésotérisme, le judaïsme se montre rétif à une telle dichotomie. La distinction existe certes, mais ce sont en règle générale les mêmes figures rabbiniques qui s'adonnent tant à l'étude talmudique et halakhique que kabbalistique. Plus encore, les deux disciplines s'influencent beaucoup plus qu'on n'a tendance à le présumer. À partir de la diffusion du Zohar, les décisionnaires séfarades et orientaux n'hésitent pas à mobiliser, conjointement au Talmud et souvent contre les commentateurs médiévaux, les sources kabbalistiques comme source de loi et de coutume. Cette irruption du corpus ésotérique dans le champ légal amène les autorités savantes traditionnelles à repenser la structure du corpus rabbinique et, au-delà, à dessiner une philosophie de l'histoire juive qui progresserait au rythme de l'interprétation croissante de la kabbale et de la halakha.