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« J'avais sept ans quand j'ai décidé de tuer ma mère. Et dix-sept ans quand j'ai finalement mis mon projet à exécution. » C'est ainsi que commence le journal intime d'Eva, qui mène une vie bien réglée entre Sven, quelques amies, des enfants et petits-enfants, une vieille dame acariâtre dont elle s'occupe, et ses rosiers qu'elle choie.
Depuis que sa petite-fille préférée lui a offert un carnet vierge pour ses cinquante-six ans, Eva écrit la nuit, dans l'atmosphère feutrée de la maison endormie. Enfant délaissée et humiliée par une mère fantasque et égoïste, elle a appris tôt à se débrouiller toute seule. Comme avec Buster, le terrible chien des voisins, dont il a bien fallu qu'elle s'occupe pour qu'il cesse de l'effrayer...
Les souvenirs douloureux d'Eva, narrés avec une ironie mordante, mêlent candeur et perversion au fil d'un récit plein de rebondissements qui s'avère une émouvante variation sur la difficulté de combattre les démons du passé.