La petite chambre qui donnait sur la potence : un combat pour la joie de vivre
Nathan Katz
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurEn juin 1915, Nathan Katz est interné au camp de prisonniers de Nijni-Novgorod. Il y écrit son premier livre, La Petite chambre qui donnait sur la potence, publié en 1920. Ce qui aurait pu n'être qu'un banal témoignage de captivité devient un « combat pour la joie de vivre ». Comme Etty Hillesum au camp de Westerbork, il mène ce combat par un exercice constant d'attention aux choses et aux êtres qui l'entourent. « Pas de compassion ! Voilà la cause de tout ! », écrira Katz quatre ans plus tard dans sa pièce Annele Balthasar. Et Albert Camus dans ses Carnets, en 1951 : « Faute d'amour, les camps. » Face aux défis que doit surmonter l'humanité - aujourd'hui celui de sauver la vie sur la planète -, la voie du salut est connue depuis longtemps. Katz est un de ces hommes qui l'ont explorée et suivie. |
RésuméEn juin 1915, Nathan Katz est interné au camp de prisonniers de Nijni Novgorod. Durant sa captivité qui dure jusqu'en août 1916, il écrit ce qu'il voit : les paysages grandioses de la plaine russe sous l'hiver mais aussi, sous forme de courtes nouvelles, des portraits (un camarade de détention, une infirmière, etc.). Des poèmes accompagnent l'ensemble. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Nathan Katz
(Auteur) Éditeur(s) Date de parution
18 juin 2020
Collection(s)
Les vies imaginaires
Rayon
Littérature allemande
Contributeur(s) EAN
9782845902978
Nombre de pages
163
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.3
cm
Poids
214
g
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