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On trouvera peut-être dans ce livre tel élément biographique qu'on ignorait. Mais là n'est pas l'essentiel de ce que nous offre cette Petite vie de Maximilien Kolbe. Il y a ici un ton, quelque chose d'entraînant, de léger, qui tranche avec le cliché - au sens premier -, sérieux et, avouons-le, un peu « plombant », du prêtre martyr, mort à Auschwitz dans le bunker de la faim. Suivre la voix d'Alexia Vidot, c'est s'acheminer, certes, vers la fin tragique, héroïque, bref : impressionnante du Père Kolbe, mais sans que l'itinéraire soit pour autant réduit à son terme. Alexia Vidot donne au chemin d'exister pour lui-même. La mort du Père Kolbe apparaît alors un peu autrement. Comment ? Comme le coup de maître d'un grand joueur.
Martin Steffens