Les avis de cette rubrique sont la propriété de La Procure. Les auteurs s'engagent donc à renoncer à tous leurs droits de propriété.
L'internaute a le droit de publier un avis par livre, mais certains livres ne sont pas ouverts aux avis.
Les données obligatoires sont nécessaires pour que vous puissiez faire paraître votre commentaire. Merci de nous les fournir pour que nous soyons en mesure de traiter votre demande.
Vous disposez d'un droit d'accès, de rectification, de modification et de suppression des données qui vous concernent. Pour l'exercer, il vous suffit de cliquer sur « Modifier mon commentaire » lorsque vous êtes identifié.
La rédaction des critiques sur laprocure.com est soumise à une charte :
Nous nous réservons le droit de ne pas publier les commentaires ne respectant pas la charte de rédaction.
Ce module vise uniquement à collecter des commentaires sur le contenu d'une oeuvre. Le commentaire doit se limiter à des argumentations, des remarques ou des impressions qui portent sur le livre concerné ou son auteur. Il ne doit en aucun cas mentionner des informations sur votre vie privée ou celle d'autres personnes. Les termes pouvant être interprétés comme une injure ou une diffamation à l'encontre de l'auteur ou de toute autre personne physique ou morale sont strictement interdits sur laprocure.com.
Un internaute qui n'a pas été publié n'a plus la possibilité de republier un avis pour la notice concernée.
Alors que la presse écrite est menacée par la révolution numérique et par une crise sans précédent de sa distribution, Eric Fottorino livre un témoignage abrupt sur les défis que doit relever le papier comme support d'apprentissage, de connaissance et de compréhension du monde. Dans ces pages nourries d'une expérience de chaque jour, le cofondateur du 1, d'America et de Zadig en appelle à un combat de rue pour imposer la presse dans l'espace public. Et pour que la liberté de bien s'informer demeure une réalité vivante qui échappe à tous les pouvoirs ainsi qu'aux algorithmes inquisiteurs de l'intelligence artificielle. Il faut maintenant sauver les journaux, sauver les kiosques et les marchands qui les vendent sur l'ensemble du territoire. Nous sommes tous concernés. Il en va de la démocratie.