Que ma joie demeure
Le coup de cœur de nos librairesJean Giono
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce qu'on en penseFigure dominante du paysage littéraire français du XXe siècle, Giono reste une exception, attaché à Manosque où il est né et où il mourra, après y avoir écrit toute son oeuvre. Publié en 1935, le roman se situe dans un hameau agricole sur un plateau de Haute-Provence. La nature et la beauté des paysages y sont magnifiées par un personnage qui va redonner le goût de vivre à un paysan ployant sous le joug d’un dur labeur. C’est une immersion dans la Provence au début du XXe siècle. Voir la beauté dans les petites choses apporte de la joie. C’est le message précieux de ce roman-poème à l’écriture riche et simple à la fois. |
Ce que dit l'éditeurQue ma joie demeure Sur le rude plateau provençal de Grémone, quelques hommes peinent tristement sur leurs terres, chacun de leur côté. Ils comprendront le message d'espérance que leur apporte le sage Bobi, vagabond au coeur généreux, et, malgré les difficultés de l'existence, la joie renaîtra. Que ma joie demeure est un hymne à la vie, un chant merveilleux en l'honneur de la nature, des hommes et des animaux. |
RésuméSur le plateau provençal de Grémone, les enseignements de Bobi le saltimbanque révolutionnent le travail triste des paysans du coin. Il leur révèle une vie meilleure, plus authentique, moins égoïste. Un programme utopiste que l'amour, avec les sensuelles Aurore et Joséphine, fait basculer vers le drame. Roman paru en 1935. ©Electre 2023 |
Caractéristiques Auteur(s) Jean Giono
(Auteur) Éditeur(s) Date de parution
22 mars 2023
Collection(s)
Le Livre de poche
Rayon
Ldp/Biblio
Contributeur(s) Nicolas Mathieu
(Préfacier) EAN
9782253245278
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
1.8
cm
Poids
226
g
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 À propos de l'auteurJean Giono dont l'œuvre s'inscrit en majeure partie dans la région de Manosque qu'il n'a quittée que pour de courts voyages, a vu sa jeunesse bouleversée par le traumatisme de la Grande Guerre. Son œuvre qui n'appartient à aucune école est passée de la peinture d'une Provence âpre à une réflexion sur la condition humaine. |
