La force locale en Algérie : 19 mars au 31 juillet 1962
Omar Hamourit
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa force locale en Algérie Après le cessez-le-feu proclamé le 19 mars 1962, pour organiser le pouvoir en Algérie, le gouvernement français a mis en place : le Haut-Commissariat, l'Exécutif provisoire et la force locale. Cette force locale, mixte, avait pour mission de maintenir l'ordre, de protéger les personnes et leurs biens, d'assurer la surveillance générale, et de soutenir le travail d'organisation du vote de l'autodétermination (1er juillet 1962). De quelles troupes était-elle constituée ? Comment fut-elle mise sur pied ? Quel était son encadrement et son implantation sur le territoire algérien ? De quelle autorité dépendait-elle ? Comment son déploiement s'était-il effectué dans une Algérie confrontée à l'OAS ? Après l'autodétermination, elle fut au centre de bien des interrogations. L'Exécutif provisoire, conduit par Abderrah- mane Farès, voulait sauvegarder cette force, pour en faire la base de la future armée algérienne. L'État-Major général de l'Armée de libération nationale (ALN) était contre cette idée. Finalement le général de Gaulle, devant la dissolution des unités, minées par les désertions des Musulmans, demanda le rapatriement des officiers français détachés dans cette force. |
RésuméA la fin de la guerre d'Algérie, le gouvernement français a mis trois autorités en place : le haut-commissaire, l'exécutif provisoire et la force locale, cette dernière ayant pour objectif de maintenir l'ordre, de protéger les civils et leurs biens, d'assurer la surveillance générale et l'organisation du vote de l'autodétermination. L'auteur analyse le rôle et le fonctionnement de cette instance. ©Electre 2024 |
Caractéristiques EAN
9782352703402
Nombre de pages
151
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
13.0
cm x
1.2
cm
Poids
180
g
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