Ce que dit l'éditeurRédigées en 45 avant J.-C. dans sa villa de Tusculum, les Tusculanes - ou Disputationes - de Cicéron proposent une confrontation de l'être avec le monde où il se trouve. Dans une langue simple, lumineuse et sans excès rhétoriques, Cicéron entend faire l'éducation philosophique de ses contemporains. C'est la plus grave de toutes les questions qui est ici abordée : celle de la mort. Comment le sage peut-il l'envisager sans angoisse ni terreur ? Est-elle un mal absolu ? Peut-on la regarder en face sans désespérer ? Héritier de la pensée grecque, Cicéron la développe dans une langue «plus riche, plus souple, plus harmonieuse». «Une conviction irrésistible pousse Cicéron à affirmer, contre ses maîtres stoïciens, l'immortalité de l'âme. La vie est un mal. Mourir est «ce qui peut nous arriver de mieux». Un spasme de plus, et c'est le christianisme ! Les philosophes du Moyen Age ne s'y trompèrent pas.» |
RésuméAborde la plus grave de toutes les questions, celle de la mort. Comment le sage peut-il l'envisager sans angoisse ni terreur, comment ne pas la considérer comme un mal absolu et enfin, comment la regarder en face sans désespérer. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
15 mai 1996
Collection(s)
Poche-Retour aux grands textes
Rayon
Philosophie, éthique
Contributeur(s) Pierre Grimal
(Editeur scientifique (ou intellectuel)), Danièle Robert
(Traducteur) EAN
9782869592902
Nombre de pages
128
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
0.7
cm
Poids
94
g
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