Les avis de cette rubrique sont la propriété de La Procure. Les auteurs s'engagent donc à renoncer à tous leurs droits de propriété.
L'internaute a le droit de publier un avis par livre, mais certains livres ne sont pas ouverts aux avis.
Les données obligatoires sont nécessaires pour que vous puissiez faire paraître votre commentaire. Merci de nous les fournir pour que nous soyons en mesure de traiter votre demande.
Vous disposez d'un droit d'accès, de rectification, de modification et de suppression des données qui vous concernent. Pour l'exercer, il vous suffit de cliquer sur « Modifier mon commentaire » lorsque vous êtes identifié.
La rédaction des critiques sur laprocure.com est soumise à une charte :
Nous nous réservons le droit de ne pas publier les commentaires ne respectant pas la charte de rédaction.
Ce module vise uniquement à collecter des commentaires sur le contenu d'une oeuvre. Le commentaire doit se limiter à des argumentations, des remarques ou des impressions qui portent sur le livre concerné ou son auteur. Il ne doit en aucun cas mentionner des informations sur votre vie privée ou celle d'autres personnes. Les termes pouvant être interprétés comme une injure ou une diffamation à l'encontre de l'auteur ou de toute autre personne physique ou morale sont strictement interdits sur laprocure.com.
Un internaute qui n'a pas été publié n'a plus la possibilité de republier un avis pour la notice concernée.
Manipulations anglaises sur un groupe de résistants infiltré par les Allemands
Parmi les faits les plus mystérieux qui sont survenus durant la bataille de Normandie, l'installation de l'agent double Robert Kiffer au sud de Lisieux, comme membre du « circuit SOE Donkeyman » dirigé à Londres par Maurice Buckmaster et en France par Henri Frager, demeure l'un des plus surprenants. Il est difficile en effet de croire que les Anglais ne savaient pas que le réseau Jean-Marie était infiltré par deux agents doubles travaillant pour les Allemands et les Anglais à la fois. Mais pourquoi alors les Anglais parachutent-ils des armes jusqu'en mai 1944, sachant qu'une partie est récupérée par les Allemands tandis que les FFI en sont cruellement privés ? Marie-Josèphe Bonnet expose le dramatique engrenage d'une stratégie qui, pendant la Seconde Guerre mondiale, n'hésite pas à sacrifier des hommes et des femmes remarquables.
Sur fond de trahison et de duplicité, se déploient des relations complexes entre le « War Office », les services secrets allemands et des résistants normands en grande partie manipulés par des enjeux qui les dépassent.