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Comment éviter l'écueil où le néolibéralisme nous a conduits ? Pour parer aux logiques d'accélération et de croissance, qu'il identifie comme étant à l'origine de l'aliénation contemporaine, le sociologue Harmut Rosa a dessiné une voie, magistrale : un rapport au monde renouvelé. À rebours de l'instrumentalisation que nous impose la société moderne, il nous invite à une relation vivante, responsive. En un mot, à la « résonance », seule en mesure de nous sortir de l'ornière sans violence.
Mais ce concept est-il assez puissant pour penser une nécessaire transformation ? La résonance est subversive, mais un renouvellement en profondeur peut-il faire l'économie de la rupture ? Les convivialistes dont les contributions sont ici réunies s'interrogent : comment éduquer les générations futures à un nouveau rapport au monde ? Comment se former pour transformer ? Faut-il entrer en résonance ou en résistance ?
Les convivialistes promeuvent une philosophie politique de la vie en commun (de la convivance), un « art de coopérer en s'opposant sans s'entretuer ». Coordonné par Nathanaël Wallenhorst, ce volume réunit les contributions de Renaud Hétier, Jean-Marc Lamarre, Fred Poché et Jean Yves Robin.