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La question de Jean Paul II à Paris en 1980 : « France, Fille aînée de l'Eglise, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? » reste plus que jamais d'actualité.
Submergée par le matérialisme et la technologie, obsédée par la facilité et les plaisirs, oublieuse de sa vocation, des devoirs et valeurs dont cet héritage est porteur, la France perd sa spécificité en altérant son âme, en se diluant dans un européanisme mal compris et dans un mondialisme exacerbé.
Si elle veut retrouver son âme, elle doit revenir à la foi de ses pères, à la voie magnifiquement tracée par Jeanne d'Arc, qui a eu le génie de marcher sans chuter sur deux crêtes : la sainteté et le patriotisme.
Si nous la prions avec Marie, Reine de France, et tous les anges et élus de notre Pays, nous pouvons toucher le Coeur du Christ, toujours « vray Roy de France », et revenir par Lui à la vraie prospérité.
Le passé n'est utile que pour l'avenir : pensons au moins à nos enfants, dont Jeanne est l'aînée et la lumière.
La France ne nous appartient pas, nous n'en sommes que les usufruitiers. Nous ne devons pas l'avilir, mais l'enrichir. Que la figure lumineuse de Jeanne nous y aide. Il y va de sa survie.