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Alors que certaines manifestations religieuses se trouvent au coeur de l'actualité et qu'elles suscitent des débats passionnés, comment expliquer le peu d'intérêt apparent des sociologues pour le religieux, qui était pourtant un objet central chez les « pères fondateurs » de la sociologie ? Est-ce parce que le religieux n'est pas vu ou parce qu'il est évité ? Est-il encore considéré comme voué à disparaître ? Une telle situation ne s'explique-t-elle pas également par l'isolement de la sociologie des religions par rapport aux autres sociologies spécialisées ? En la matière, les sociologues se distinguent-ils de leurs collègues des autres sciences sociales, l'histoire, la science politique, la démographie ou l'anthropologie ? C'est à ces questions que cet ouvrage, issu d'un colloque de l'Association française de sciences sociales des religions, s'attache à répondre.