J'ai tant vu le soleil : essai
Emmanuel de Waresquiel
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurJ'ai tant vu le soleil « De son vivant, personne n'a su exactement quels gens il voyait, quels livres il lisait, quels voyages il faisait. Il se dérobait d'instinct, usait sans cesse de diminutifs, d'acronymes, d'anagrammes, changeait de langue et de nom au point d'en avoir adopté plus de deux cents : Dominique, Mocenigo, Bombet, Cotonet, Esprit, William Crocodile, Choppier des Ilets, le comte de l'Espine, F. de Lagenevais et bien sûr Stendhal, dont il fait son nom de plume en 1817. Tous sont le même Henri Beyle multiplié à l'infini comme le serait l'image déformée d'Orson Welles dans la grande scène finale des miroirs de La Dame de Shanghai. La police de Fouché, le très efficace ministre de Napoléon, n'explique pas tout. Stendhal s'amuse. Il s'invente en facétieux, par jeu, par moquerie peut-être, par pudeur certainement. "Comment m'amuserai-je quand je serai vieux, si je laisse mourir la bougie qui éclaire la lanterne magique ?" » |
RésuméDominique, Mocenigo, Bombet, Cotonet, Esprit, William Crocodile, Choppier des Ilets et bien sûr Stendhal, sont quelques-uns des pseudonymes employés par Henri Beyle. A travers cet essai, Emmanuel de Waresquiel exprime son plaisir de raconter l'écrivain. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Emmanuel de Waresquiel
(Auteur) Éditeur(s) Date de parution
12 mars 2020
Collection(s)
Blanche
Rayon
Littérature française
EAN
9782072887505
Nombre de pages
117
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.2
cm
Poids
174
g
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À propos de l'auteurEmmanuel de Waresquiel est un historien français spécialiste du XIXè siècle français, plus particulièrement de l'histoire des idées dans le prolongement de la Révolution française. Il vient d'écrire une monumentale biographie de Talleyrand. |