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Depuis le XIXe siècle, la cause était entendue : l'Église catholique avait condamné, emprisonné et martyrisé Galilée, un astronome génial, qui avait démontré que la Terre tournait autour du Soleil, ce que l'Église refusait d'admettre.
Or la réalité est tout autre ! Non seulement Galilée n'a jamais passé un jour en prison, n'a jamais été martyrisé, mais Aimé Richardt démontre, en s'appuyant sur des documents irréfutables, que Galilée n'a jamais prouvé la rotation de la Terre autour du Soleil, et que l'Église était fondée à le condamner.
En effet, les plus hautes autorités religieuses lui avaient demandé, en 1616, d'apporter une preuve à sa théorie, qui était d'ailleurs celle de Copernic, ou de parler d'hypothèse et, surtout, de ne pas intervenir dans l'explication des textes de la Bible qui paraissaient soutenir la thèse opposée du géocentrisme.
Après l'avoir promis, Galilée est revenu sur sa parole, il a donc été jugé et condamné, avec une mansuétude toute particulière, réclamée par le pape qui était son ami.
On est bien loin de l'image du martyr en proie à la persécution de l'Église...
« À l'image d'Épinal qui a traversé les siècles, le livre d'Aimé Richardt, en se basant sur de nombreux documents, apporte une autre réponse : celle d'une Église catholique partagée entre l'impérieuse nécessité de se protéger contre toutes les formes d'hérésies et celle de ne pas se situer en dehors des ferments intellectuels et des découvertes de l'époque. »