Les avis de cette rubrique sont la propriété de La Procure. Les auteurs s'engagent donc à renoncer à tous leurs droits de propriété.
L'internaute a le droit de publier un avis par livre, mais certains livres ne sont pas ouverts aux avis.
Les données obligatoires sont nécessaires pour que vous puissiez faire paraître votre commentaire. Merci de nous les fournir pour que nous soyons en mesure de traiter votre demande.
Vous disposez d'un droit d'accès, de rectification, de modification et de suppression des données qui vous concernent. Pour l'exercer, il vous suffit de cliquer sur « Modifier mon commentaire » lorsque vous êtes identifié.
La rédaction des critiques sur laprocure.com est soumise à une charte :
Nous nous réservons le droit de ne pas publier les commentaires ne respectant pas la charte de rédaction.
Ce module vise uniquement à collecter des commentaires sur le contenu d'une oeuvre. Le commentaire doit se limiter à des argumentations, des remarques ou des impressions qui portent sur le livre concerné ou son auteur. Il ne doit en aucun cas mentionner des informations sur votre vie privée ou celle d'autres personnes. Les termes pouvant être interprétés comme une injure ou une diffamation à l'encontre de l'auteur ou de toute autre personne physique ou morale sont strictement interdits sur laprocure.com.
Un internaute qui n'a pas été publié n'a plus la possibilité de republier un avis pour la notice concernée.
La question des liens entre violence et religion s'impose aujourd'hui à tout un chacun, habitué des cercles théologiques ou non, familier d'une Église ou athée militant.
Il est facile d'accuser une « autre religion » de favoriser la violence, mais Jésus a recommandé d'enlever la poutre qui est dans notre oeil avant de chercher à enlever la paille qui est dans l'oeil du voisin.
C'est pourquoi les contributions proposées dans cet ouvrage cherchent à comprendre le rapport à la violence dans la Bible (Ancien et Nouveau Testament), dans théologie et dans la pratique chrétienne.
Elles le font en suivant trois lignes directrices :
. Le premier constat est que la violence, loin d'être un fait « religieux » au sens habituel de ce mot, est une caractéristique structurante de l'existence humaine.
. Le second, c'est que le religieux, y compris dans ses manifestations les plus « laïques », est intimement lié à la question de la violence.
. La troisième conviction est que cette question ne se résout pas par l'exhortation morale... si tant est qu'elle puisse être résolue : peut-être est-ce aussi vivre en humain que d'y être confronté à nouveau à chaque génération !