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La ville a tué le ciel. Dans les grandes métropoles, rares sont ceux qui écoutent le vent dans les branches, ou rêvent à la douceur de l'eau des rivières, à la beauté sauvage des montagnes et au mystère des forêts. Aujourd'hui, nous ne vivons plus dans le monde, mais dans sa représentation, face à des ordinateurs qui renvoient les images de « ce que les hommes croient qui leur arrive », sans véritable contact avec un univers naturel dont nous sommes pourtant issus. En écrivant Les vrais bonheurs, j'ai voulu témoigner de l'importance des arbres, du feu, des pierres, des champs, des fleurs, des chemins, de tout ce qui demeure essentiel dans notre civilisation aveugle. Il s'agissait de faire prendre conscience du gouffre creusé entre la vie naturelle et l'existence telle qu'elle est subie dans les grandes villes où la plupart des enfants n'ont jamais vu d'abeilles butiner des fleurs.