De la propriété : du communisme, du socialisme et de l'impôt
Adolphe Thiers
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurDe la propriété Ce livre nous le montre sous un autre jour. Historien plus encore que juriste et journaliste, il avait publié successivement, de 1823 à 1827 une immense Histoire de la Révolution, puis, de 1845 à 1862, une Histoire du Consulat et de l'Empire, au total 25 volumes. Dès 1833, il est élu à l'Académie française, en hommage à ces travaux. Très en avance sur les historiens de son temps, il y soulignait en effet l'importance des faits économiques. En 1848, il est un des chefs du parti de l'ordre qui constate les dégâts des révolutionnaires quarante-huitards et s'oppose aux utopies socialistes et communistes. C'est à ce titre, et à ce moment de l'histoire, sous la Deuxième république, qu'il publia, en 1848, cet essai sur le Droit de propriété. Or, celle-ci, fondement de l'ordre social, de la prospérité comme des libertés, aujourd'hui comme hier, est attaquée par les idées de gauche. Mais elle est également rongée par l'impôt. Doit-on tenir ce débat pour inactuel ? |
RésuméAux antipodes du "La propriété, c'est le vol" de Proudhon, A. Thiers se livre à une véritable défense et illustration du droit de propriété. D'après lui en effet "sans la propriété, il n'y aurait pas de civilisation". Il propose également une réflexion sur des principes politiques et sur l'impôt. ©Electre 2024 |
Caractéristiques EAN
9782848800400
Nombre de pages
326
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
15.0
cm x
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