Le cercle de Prague : enseignements inédits : 1958

Ce que dit l'éditeur

Le Cercle de Prague

Enseignements Inédits

En 2001 paraissaient les Enseignements de Franz Bardon donnés à ses élèves et intitulés « Paroles de Maître Arion » . Ils complètent ceux que ce Grand Adepte a délivrés dans « Le Chemin de la Véritable Initiation Magique », « La Pratique de la Magie Évocatoire » et « La Clé de la Véritable Kabbale ».

Ces trois ouvrages, chefs-d'oeuvre de l'Ésotérisme, seraient toutefois incomplets sans les Enseignements essentiels relatifs à l'Éthique, au bon comportement que doivent avoir ceux et celles qui foulent le Chemin menant à la Réalisation Spirituelle. « Le Cercle de Prague », véritable « Guide » sur cette Voie difficile et escarpée, répond à cette nécessité impérieuse en soulignant la qualité fondamentale que doit acquérir le disciple : « faire le bien, toujours, en tout et partout ».

L'ouvrage, présenté ici n'est, cependant, pas un simple guide de bonne conduite. Il explique les règles qui gouvernent la destinée de tous les êtres que l'on appelle le Karma.

Enseignements donc uniques, précieux et essentiels, non seulement pour mieux traverser l'existence ici-bas, mais surtout pour maîtriser celle-ci afin de mettre définitivement fin au Cycle des renaissances terrestres.

Franz Bardon (1909-1958)

Avec la permission de la Divine Providence, l'Esprit d'un Adepte hautement développé entra dans le corps d'un enfant de quatorze ans du nom de Franz Bardon, né le 1^er décembre 1909 à Karheriem, près d'Opava en Tchécoslovaquie ; il était destiné à devenir l'un des Mages les plus remarquables du siècle dernier en Occident.

Bien qu'il eût une « existence normale », Franz Bardon eut une autre vie, une vie occulte, et celle-ci fut pleine d'accomplissement, de pouvoir mais aussi de tragédie. Les souvenirs sur cette vie grandiose, tout en étant, selon la règle adeptique, cachée, ont été couchés par son fils, L. Bardon, et un disciple, le Dr M.K. dans « Souvenirs de Franz Bardon  » L'Adepte Lui-même fait quelque peu état de sa vie dans le roman autobiographique « Frabato le Magicien ».

Au service de l'Humanité, en sacrifice pour celle-ci, il subit des tortures et de grands outrages pendant la période nazie de la Seconde Guerre Mondiale, puis dans la Tchécoslovaquie communiste où sa personne fut salie par de lourdes calomnies.

Il « mourut » officiellement le 10 juillet 1958 à Brnö. dans les geôles de la police tchèque.