Grande soirée : "L'intelligence artificielle, vers un monde meilleur ?"
Le courage
Gabriel, libraire à La Procure de Paris
NOS LIBRAIRES EN PARLENT - La Maison des regards
La Maison des regards
Daniele Mencarelli
Éditions du Globe
Marie-Joseph, libraire à La Procure de Paris
Entre Guerres
Entre Guerres
Éditions Gallimard
« Il n'y a pas que les militaires qui sont prêts à donner leur vie pour les autres. Être militaire c'est bien plus que cela. C'est une exigence beaucoup plus forte. Le soldat est prêt à tuer sur ordre pour une cause qui le dépasse et qui est une cause de la nation, de sa patrie. Et c'est ce qu'il faut rappeler aux gens. Et donc vous ne pouvez pas être confrontés à cette obligation qui vous est faite de transgresser le tabou absolu de la mort, sans vous poser la question du sens et de la raison pour laquelle vous le faites. »
©Général François Lecointre, pour la librairie La Procure
Florence Besson - Une Semaine de silence
Florence Besson
Une Semaine de silence
Éditions Flammarion
©Florence Besson, pour la librairie La Procure
NOS LIBRAIRES EN PARLENT - Les Bibles
« La Procure vous propose au moment des fêtes de la foi un nombre de bibles. Pour pouvoir accueillir la parole de Dieu de manière différente, de manière originale et tout à fait fraîche. »
Stella, libraire à La Procure de Paris
Isabelle Chartier-Siben - Trois jours dans la nuit
Isabelle Chartier-Siben
Trois jours dans la nuit. Carnet d'une victimologue au coeur des abus
Éditions de l'Emmanuel
« Dès les premiers mois, une religieuse est arrivée parce qu'elle avait été virée mal proprement de son couvent. Donc, c'est dès 2002 que nous avons reçu des victimes au sein de l'Eglise, avec un énorme “arrivage” dans les années 2010. Et puis aujourd'hui, 80 % des personnes que je reçois sont issues de l'Église et donc ce sont des personnes qui ont été abusées au sein d'Église ou bien dans leur enfance, et dont les maltraitances et la souffrance se révèlent alors qu'elles sont en cheminement dans l'Eglise. Ce sur quoi je voudrais insister, c’est que l'Eglise, effectivement, a été maltraitante. Elle est toujours maltraitante en certains lieux, mais elle aide aussi des personnes qui sont victimes. »
©Isabelle Chartier-Siben, pour la librairie La ProcureNOS LIBRAIRES EN PARLENT - Neuf vies
Neuf vies
Peter Swanson
Éditions Gallmeister
« Au départ, c'est neuf personnes qui reçoivent une liste de neuf personnes parmi lesquelles leur nom est écrit. Et ces neuf personnes vont commencer à disparaître. Ça ne vous fait pas penser à quelqu'un ça? Ou à un roman très connu d'Agatha Christie? Les Dix petits nègres ? Ou Ils étaient dis. Et bien oui! Il y a évidemment une allusion et un grand hommage qui lui est fait à nouveau, parce qu'il l'avait déjà fait dans un précédent roman. Et donc on va voir commencer à disparaître. Ces gens, parmi lesquels il y a une une agent du FBI quand même, on se dit ça va, il va se passer quelque chose, il va se passer plein de choses. C'est un excellent moment de lecture, je vous le recommande.»
Marie-Joseph, libraire à La Procure de Paris
Philippe Le Guillou - Brest, de brume et de feu
Philippe Le Guillou
Brest, de brume et de feu
Éditions Gallimard
© Philippe Le Guillou pour la librairie La Procure
Animation par Mathilde, libraire à La Procure de Paris
Timothée de Rauglaudre, Matthias Petel et Jean-Baptiste Ghins - Il renverse les puissants
Timothée de Rauglaudre, Matthias Petel et Jean-Baptiste Ghins
Éditions du Cerf
© Timothée de Rauglaudre, Matthias Petel et Jean-Baptiste Ghins pour la librairie La Procure
Animation par Guillaume, libraire à La Procure de Paris
NOS LIBRAIRES EN PARLENT - Les Jeux olympiques de littérature
Les Jeux olympiques de littérature : Paris, 1924
Louis Chevaillier
Éditions Grasset
« Certains d'entre vous apprendrez que dans les années 1912 à 1948, il y avait aux Jeux olympiques des épreuves d'art et de littérature. C'était Pierre de Coubertin qui tenait beaucoup à ces épreuves et on y avait comme jury, à l'époque, des gens comme Paul Claudel, Jean Giraudoux, Paul Valéry et Edith Wharton. Il y avait aussi des prix Nobel, Selma Lagerlof, Maeterlinck (...). C'était ça à l'époque. C'était ça les années 20. Et c'est raconté dans ce livre qui est vraiment érudit, brillant et un vrai plaisir de lecture que je vous recommande. »
Marie-Joseph, libraire à La Procure de Paris
Benoist de Sinety - Lazare Le ravi
Benoist de Sinety
Lazare le ravi
Éditions du Cerf
« Alors que le christianisme, c'est pas une religion du devoir à accomplir. C'est vraiment dans la manière dont Dieu vient à notre rencontre. Et c'est cette rencontre personnelle qui est importante. Le reste en découle mais ne peut en aucun cas faire l'impasse dessus. C'est ce que j'ai cherché à montrer dans ce livre.
C'est d'abord un livre qui nous parle de la rencontre que Jésus veut avoir avec les personnages qui sont dans ce livre et à travers eux, avec chacun d'entre nous et que cette rencontre, ce n'est pas un mythe, ce n'est pas un truc réservé à une élite spirituelle, religieuse ou que sais je, mais qu'elle est possible, absolument pour chacun, pour les plus savants et pour les plus pieux comme pour les plus rebelles et les plus ignares (...). »
©Benoist de Sinety, pour la librairie La Procure
Animation par Mathilde, libraire à La Procure de Paris
NOS LIBRAIRES EN PARLENT - Dans la maison de mon père
Dans la maison de mon père
Joseph O'Connor
Éditions Rivages
« Je vous présente le nouveau roman de Joseph O'Connor, qui est un de nos écrivains irlandais majeurs contemporains. Il va ici raconter l'histoire vraie d'un prêtre irlandais qui s'appelait Hugh O'Flaherty, qui était rattaché au Vatican pendant la Seconde Guerre mondiale et qui a sauvé des milliers de Juifs et des alliés qui se cachaient dans Rome à l'époque. Alors les nazis sont présents et en particulier un officier qui le surveille de près (...) »Marie-Joseph, libraire à la Procure Paris
Isabelle Le Bourgeois - Vivre avec l'irréparé
Vivre avec l'irréparé
Isabelle Le Bourgeois
Éditions Albin Michel
« Comment on vit justement cet irréparable? Comment vivons, vivons nous quand on est comme vous, thérapeute et religieuse de surcroît, avec cette irréparable ? Si on s'arrête à l'irréparable, c'est fichu. D'une certaine façon, il n'y a plus d'espoir. Les portes sont fermées. La mort, c'est irréparable. L'accident, et ça a eu lieu, c'est irréparable. A un autre degré et pour donner un peu d'humour, le poulet grillé complètement rôti qui ne peut plus sortir du four, c'est irréparable. Voilà ce que je veux dire par là, c'est qu'il y a dans nos vies perpétuellement, quelque chose qu'on ne peut pas réparer parce que ça s'est fait. Et puis voilà. Mais moi, ce qui m'intéressait, c'était les conséquences de ça, les traces de tout ça (...) »
©Isabelle Le Bourgeois, pour la librairie La Procure
Animation par Mathilde, libraire à La Procure de Paris
Antoine de Suremain et Henri d'Anselme - Marche au désert sur le chemin de Saint-Guilhem
Antoine de Suremain
Marche au désert sur le chemin de Saint-Guilhem
Editions Salvator
« Au fur et à mesure de cette marche, à force de me nourrir uniquement du sauvage, je me suis rendu compte de cette disponibilité et le fait justement de se débarrasser de tout ce qui était superflu, de se dégraisser de ce superficiel m'a permis de me reconnecter à quelque chose de plus essentiel, c'est à dire l'émerveillement, la contemplation des paysages que je traversais. Je crois qu'à la fin, sur ce chemin qui au début, était un raid survivaliste qui s'est transformé par la suite en démarche ascétique, à la fin, c'est terminé en pèlerinage à Saint-Guilhem le désert. Puisque le chemin de Saint-Guilhem est quand même un chemin de pèlerinage magnifique.(...).»
©Antoine de Suremain pour la librairie La Procure
Sylvain Tesson - Avec les fées
Sylvain Tesson
Avec les fées
Editions des Equateurs
« Jusqu'alors, je pensais que chercher le Graal c'était justement ne pas le trouver. Ce qui obligeait toujours à courir après lui. Et puis vient un moment où on finit par être fatigué de ce mouvement permanent. On y trouve évidemment un ressort. On y trouve un aliment, un nutriment, même pour l'être. Mais ça fatigue la mécanique et le mouvement perpétuel. Au bout d'un moment, on s'esquinte à toujours se mettre en marche. Alors, à un moment, j'ai préféré me dire qu'il y avait peut être un effort, un exercice spirituel peut-être à faire, en se disant qu'il y avait une chose qu'il ne fallait pas négliger. C'était la douceur des choses qui sont là au moment où elles sont là. (...). »
©Sylvain Tesson, pour la librairie La Procure
Animation par Stéphane, libraire à La Procure de Paris
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