Tilleul régnant : douzains

Ce que dit l'éditeur

« Tilleul régnant est une suite pleine de charme, d'un vocabulaire inattendu, « on met des mots au fil de l'improbable », avec quelle intuition, quelle intelligence, quel bonheur ! en hommage - peut-être - à Y. Bon-nefoy... »
Serge Wellens.

« O. Shesne sculpte le langage, avec précision, netteté, rigueur. Ce serait dur, si ça n'était si souple ; ce pourrait être monotone, mais ça chante sur tous les tons et c'est de toutes les couleurs. »
J-M. Gilory.

« Vous avez l'art de trouver les mots qui se cherchent. Vous savez donner du rythme à vos textes et le coup d'archet qu'il faut au moment où il le faut. »
Jean-Claude A. Coiffard.

« On est persuadé de votre connaissance d'une lignée de poètes où l'on rencontre Sponde et du Bartas, Mallarmé et Char sans oublier Nerval et le Hugo à la Bouche d'ombre. »
Jean Rousselot lettre à l'auteur.

« Plus que charnelle, votre écriture est corporelle : tout sauf désincarnée. Il y a ce bruissement perpétuel de votre parole (le rythme des douzains y est pour quelque chose) : je le comparerai à celui d'une source... »
Jean-Louis Bernard.

« Votre écriture, belle et grave, ne se donne pas subrepticement au coin de la rue, il faut emprunter des chemins de lumière pour y accéder. »
Monique W. Labidoire...

« Un travail singulier, secret, original... exigeant. »
Michel Cosem.

« Au coeur de ce langage, nous assistons aux secrets des transformations et des transmutations qui composent ce précipité qu'est le poème. »
Marie-Josée Christien, in Spered Gouez.

« Une parole maîtrisée et solide, qui pour le coup ne manque pas de singularité. »
Jacques Morin, in Décharge.