La contre-démocratie : la politique à l'âge de la défiance - Pierre Rosanvallon

La contre-démocratie : la politique à l'âge de la défiance

Pierre Rosanvallon

Points | avril 2014
9,40 €
-5% pour les titulaires de la carte avec le retrait en librairie
LIBRAIRIES PARTICIPANTES
Paris VIᵉ, Paris VIIIᵉ, Paris XVIIᵉ, Paris Vᵉ
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Voir les disponibilités en librairie
9,90 €
Disponibilité en ligne
à commander
Expédié sous 8 j

Ce que dit l'éditeur

L'idéal démocratique règne désormais sans partage, mais les régimes qui s'en réclament suscitent partout de vives critiques. L'érosion de la confiance dans les représentants est l'un des problèmes actuels majeurs. Mais si les citoyens fréquentent moins les urnes, ils ne sont pas pour autant devenus passifs : on les voit manifester dans les rues, contester, se mobiliser sur Internet...

Pour comprendre ce paradoxe, cet ouvrage propose d'appréhender les mécanismes d'institution de la confiance et l'expression de la défiance comme deux moments distincts de la vie des démocraties. Si la première dimension a été classiquement étudiée, la seconde n'a jamais été explorée de façon systématique. C'est cette tâche qu'entreprend Pierre Rosanvallon en proposant une histoire et une théorie du rôle structurant de la défiance dans les démocraties.

Résumé

Une analyse de la face cachée de l'activité démocratique. L'auteur étudie l'attitude du citoyen des démocraties modernes, de plus en plus défiant à l'égard des institutions. Il met en évidence les pratiques de surveillance, d'empêchement et de jugement au travers desquelles la société exerce ses pouvoirs de correction et de pression. ©Electre 2024

Caractéristiques

Auteur(s)
Éditeur(s)
Date de parution
10 avril 2014
Collection(s)
Points
Rayon
Éthique et politique
EAN
9782757841167
Nombre de pages
344 pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0 cm x 11.0 cm x 1.6 cm
Poids
226 g
nothumb-auteur.jpg

À propos de l'auteur

Pierre Rosanvallon

Pierre Rosenvallon, professeur au Collège de France, a commencé sa carrière professionnelle par un engagement politique et syndical au sein de ce que l'on appelait alors la nouvelle gauche. Puis il rejoint l'université Paris Dauphine. Son travail d'historien porte sur le modèle politique français et l'idée de démocratie.